LE CHARLESTON

Pour vos enterrements de vie de jeune fille, spectacle de soirée, réunion d’entreprise, Equanime-Danse  propose, dans ses cours, une palette très variée de figures de Charleston permettant la mise en place rapide d’une chorégraphie délirante.

Il provoque aujourd’hui le même enthousiasme débordant dans les cours particuliers ou collectifs et est aussi joyeux et dynamique dans son apprentissage que dans l’accueil du public.

La danse Charleston se pratique en solo, en couple ou en groupe, c’est une danse de société avec des pas de twist, des stomps ou des kiks.

Quelques vidéos de la « Belle époque »

«

-

1

/

6

+

»

«

-

1

/

6

+

»

Histoire du Charleston :

Le Charleston (du nom de la ville de Caroline du Sud) ou Black Bottom , musique puis danse devenue populaire dans les années 1920, pendant l’ère du Jazz Ragtime, la danse est la représentation physique de l’enthousiasme décomplexé des jeunes de cette génération.

Danse emblématique des années folles, elle est le symbole de l’émancipation des femmes, la « robe Charleston » typique des années 1920, raccourcies n’entrave pas les gestes, le corset a disparu, ornée de franges, de perles scintillantes qui bougent avec le corps, les cheveux sont courts, les jambes et bras dévoilés, on boit de l’alcool, on fume en public… Les « flappers » américaines, tout comme les « garçonnes » françaises, font scandale et croquent la vie à pleines dents.

De rythme très rapide, la danse est très énergique et entraînante, elle connait rapidement un véritable engouement dans le monde entier et sera alors interdite dans de nombreuses salles  parce que trop scandaleuse et exubérante.

Même si la musique charleston est censée avoir existé avant les années 1920, c’est par la chanson : « The Charleston » du compositeur James P. Johnson que la danse deviendra populaire.

Sous sa forme théâtrale, le charleston fut dansé pour la première fois au New Amsterdam Theatre de New York le 20 octobre 1923, par Ned Wayburn (revue The Follies). Il est très en vogue, en France, en 1925, grâce à Joséphine Baker  qui le danse dans la « Revue Nègre », au théâtre des Champs-Élysées.

Précurseur de danses qui ont émergé dans les années 1930 telles que le Lindy Hop, le Jitterburg, le Balboa ou le Black Bottom, il reste populaire dans le monde de la danse d’aujourd’hui.